Tourisme de masse : le revers de la médaille

Sur le site de l'association Marais-Louvre, deux articles qui traitent du tourisme de masse et de ses conséquences.
Le premier se penche sur les locations saisonnières (La folie des locations saisonnières gangrène le quotidien des habitants). Dans ce passage tout est dit sur les conséquences pour les quartiers concernés :
Les habitants des centres villes, en particulier à Paris mais aussi ceux dans d’autres villes d’Europe font état d’un mal grandissant devenant de plus en plus insupportable. Certains commencent à quitter leurs quartiers, quasiment chassés qu’ils sont par les touristes et autres fêtards qui ont envahi leurs immeubles, ont transformé leur quotidien et sont source d’une évolution non souhaitée de leur quartier. Les commerces de bouche et traditionnels ont cédé la place aux enseignes de mode et aux bars avec des terrasses bruyantes, les valises à roulettes au bruit insupportable encombrent l’espace.
Le second (Faut-il se réjouir des records de fréquentation atteints en matière de tourisme ?) met en avant les conséquences de la trop grande fréquentation touristique de Paris :
Personne, qu’il s’agisse de journalistes, de professionnels et d’élus en charge des questions du tourisme, personne ne mentionne, au regard de ces résultats, l’envers du décor que sont les dommages subis par les habitants dans leur vie quotidienne, le fléau des locations touristiques et les nombreux désordres dont nous faisons régulièrement état. Il n’est pas fait mention, sinon très peu, de la saturation qui frappe le centre de Paris.

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Une réponse à Tourisme de masse : le revers de la médaille

  1. de ville dit :

    Venez dans les Alpilles à St Rémy de Provence, tourisme de masse et constructions tout azimut, sans compter les zones industrielles, les clôtures, et les murs partout. Un fléau, une hérésie, ce tourisme vulgaire, et bruyant et la fin de la bio-diversité. Une horreur. Cavaillon, Eygalières, St Rémy, et ... tout le reste jusqu'au Luberon.

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