Les 3èmes rencontres européennes du réseau « Vivre la Ville! » se tiendront à Madrid les 25 et 26 mars 2017.
Les premières informations (en espagnol) sont en ligne sur le site de l’Asociación de Vecinos de Chueca (AVChueca).
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Un colloque était organisé le mardi 13 décembre 2016 à la faculté de médecine Pierre et Marie Curie, sur le site de la Pitié Salpetrière, sur le thème suivant : les conséquences du bruit sur les enfants et les adolescents et leur coût pour la société. (le programme)
Une certitude : l’organisme ne s’habitue pas au bruit !
Deux membres du Réseau « Vivre Paris! », Nathalie Kerloc’h (AAbV) et Dr Paul Wiener (5e), ont participé à ce colloque. Ils ont rédigé ce compte-rendu. Continue reading
Le quotidien espagnol El Mundo vient de publier un article intitulé : « Un demi-million de mineurs s’est enivré au cours du dernier mois ».
Cet article situe bien le contexte du problème de l’alcoolisation en Espagne à un moment où la Fondation d’Aide contre la Toxicomanie (FAD) met la dernière main à un plan d’action destiné à freiner la consommation d’alcool chez les jeunes mineurs espagnols.
La Fondation en appelle à l’ensemble de la société pour que « s’enivrer cesse d’être un phénomène culturel en Espagne ».
Elle alerte la société espagnole et l’invite à aller au fond des choses : « Le problème de l’alcool chez des mineurs consiste en ce que nous ne voyons pas que c’est notre problème : faisons-nous quelque chose ? »
Il a fallu la mort d’une fille de 12 ans par coma ethylique à San Martín de la Vega ( Madrid) en octobre dernier suite à un « botellón »* pour qu’une prise de conscience soit possible dans un pays où « se bourrer la gueule » est considéré comme une injonction sociale.
Début novembre deux mineures de Pontevedra âgées de 12 et 13 ans ont été hospitalisées en raison d’une intoxication alcoolique. (voir article)
Puis fin novembre, c’est une fille de 13 ans qui a été soignée pour coma éthylique à Leganès (Madrid). (voir article)
On ne peut plus continuer à se voiler la face, à se taire et à faire comme si de rien n’était lorsque l’on voit des jeunes boire de l’alcool sur la voie publique. Continue reading
Nous vous en avions déjà parlé (voir article antérieur), mais en 2016 encore, les discussions autour des nuisances nocturnes ont ramené à la surface le serpent de mer de « la règle de l’antériorité ». Une telle règle est appelée de leurs vœux par certains afin, grosso modo, d’empêcher les riverains de se plaindre des nuisances pour peu qu’ils se soient installés après l’établissement causant ces nuisances. RVP a décidé d’enquêter pour savoir s’il y aurait matière à s’inquiéter. Continue reading
Jusqu’à présent uriner sur la voie publique a été considéré comme une contravention passible d’une amende d’un montant de 68€ selon le site territorial.fr.
Désormais c’est avec les encouragements des pouvoirs publics que les contrevenants pourront se soulager en public, si l’on en croit un article de Femme Actuelle.
Au nom d’une justification durable bobo-écolo – qui donne bonne conscience – on vient en effet de réinventer les toilettes sèches pour en proposer une version décomplexée : le pissoir à ciel ouvert pour hommes.
Afin de donner de la poésie à la chose ce pissoir est doté d’un bac à fleurs qui pourra d’ailleurs servir de dépotoir, de cendrier, d’essuie main et de vomitorium.
Chacune de ces commodités va coûter 3000€ au contribuable. Sans compter les frais de fonctionnement et de maintenance… une manne pour les sociétés bénéficiaires. Continue reading


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