Après la folie de la « nuit », Nantes confrontée par le Préfet au retour du réel

Dans un entretien qu’il a accordé à 20 Minutes, le Préfet de Loire-Atlantique, M. Didier Martin, s’est dit « surpris » par la délinquance sévissant à Nantes, pointant notamment le rôle de l’hyperconsommation d’alcool et de produits stupéfiants.

Didier Martin, nouveau préfet de Loire-Atlantique et de la région Pays-de-la-Loire, le 24 août 2020. — L.Venance/AFP

Depuis de nombreuses années l’association « Les rues de Graslin», l’ « Association pour la Sauvegarde du quartier Guist’hau Delorme » ainsi que l’ « Association Habiter le Bouffay » ont dénoncé la dérive d’une ville où le développement frénétique de l’industrie de la nuit dite « festive » a dramatiquement augmenté au fil des ans avec le total encouragement de la municipalité. 

A Nantes, sous l’effet de l’alcool et de la drogue, les « faits-divers », agressions, noyades, viols, ont littéralement explosés. 

C’est le constat que fait le nouveau préfet.

Nantes est le laboratoire de la « nuit », un pionnier de la promotion de l’industrie de la « nuit » dans les métropoles françaises : un développement qui a été réalisé en parfaite synergie et symbiose entre lobby de l’industrie de la nuit et politique municipale.

La « commission de débits de boissons », qui comprend les représentants des bars et établissements de nuit et des élus, en est l’acteur principal. Les représentants des habitants en sont en revanche exclus.

C’est à Nantes que sont apparus les « Cafés Barbares » dans lesquels, au nom de la création et de la culture, il est possible de diffuser de la musique sonorisée dans des lieux de consommation non conformes à la législation sur le bruit. 

C’est également à Nantes que sont apparus les calamiteux « uritrottoirs », pissoirs pour hommes à ciel ouvert.

Nantes est donc aussi le laboratoire où l’on peut constater les conséquences du développement frénétique de l’industrie de la nuit dite « festive ».

Il y a un à deux ans, des Nantais nous signalaient l’inquiétude de parents, obligés de conduire en voiture leurs enfants le matin à la Fac de médecine, en raison du sentiment d’insécurité suscité auprès des habitants par la situation que signale M. le Préfet.

Pour la même raison, dans certaines rues et quartiers du centre-ville, après avoir subi dans un premier temps une décote, certains appartements deviennent maintenant difficiles à vendre.

Quelle est la réponse de la Ville de Nantes à l’interrogation du Préfet ?

Madame Johanna Rolland, maire de Nantes, très engagée de longue date pour le rattachement de Nantes à la Bretagne, a annoncé qu’elle n’était soudainement plus favorable à ce rattachement.

Une prise de position tout à fait inexplicable qui a le gros avantage de créer un écran de fumée en suscitant le buzz.

Une information chasse l’autre.

Rien de tel d’une diversion médiatique pour éviter de parler des choses qui fâchent…

Par ailleurs, dans un article de Presse Océan, faisant suite au premier Conseil de la nuit du nouveau mandat municipal du 12 janvier, on apprend que M. Bolo, adjoint au Maire en charge de la sécurité publique, appelle au retour de la fête : il a trouvé la parade.

Le Préfet dénonce la violence, la drogue et l’hyperalcoolisation?

M. Bolo, vétéran de l’équipe municipale, propose la création d’une application à l’usage des noctambules !

Monsieur le Préfet n’est là que depuis quelques mois et il a déjà compris le vrai problème.

Combien de temps M. le Préfet et les habitants de Nantes vont-ils devoir attendre pour que la Mairie de Nantes s’attaque au vrai problème ? 

M le Préfet va-t-il prendre le problème à bras-le corps ou baisser les bras comme l’on fait ses prédécesseurs ?

Et si, au lieu de continuer à sombrer, Nantes pouvait devenir enfin le laboratoire des idées gagnantes ?

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Claude Askolovitch, journaliste à France Inter, et le terrorisme des victimes !

Très engagé aux côtés des innombrables victimes de la multiplication des bars avec terrasses ouvertes jusqu’à pas d’heure ou des établissements de nuit avec fumeurs dans la rue et fermeture à l’aube, un citoyen souhaite réagir à un passage de la revue de presse déroulée au petit matin du 23 juin 2020 sur France-Inter par le journaliste multicarte Claude Askolovitch. (voir encadré) Il s’insurge notamment contre un très malheureux rapprochement sémantique commis par le chroniqueur.

Dans le Parisien encore, on me parle d'un autre arrondissement, où ce n'est pas la mort qui indiffère mais la vie qui dérange, quelle étrangeté de lire que dans le XIe arrondissement, des riverains sont dérangés par les terrasses qui s'étalent depuis le déconfinement,  ils ont pris un avocat pour les faire reculer... Le XIe arrondissement, c'était, rappelez-vous, l'arrondissement des terrasses attaquées  avec le bataclan, et ces terrasses où nous étions retournés symbolisaient alors notre volonté de vivre...
Dans le Parisien toujours, qui sent bien sa ville, on s'interroge sur le laisser aller dont nous ferions preuve face au covid 19, faut-il accuser les fêtards de la musique du canal saint-martin? La réponse est heureusement tempérée mais le débat dit un moment.

Je n’irai pas, Monsieur Askolovitch, jusqu’à vous reprocher, comme le fit un jour Philippe Val, l’ancien patron de Charlie Hebdo, de vouloir défendre l’indéfendable. Je me bornerai à vous accuser de légitimer ces fauteurs de trouble qui, selon votre point de vue, seraient du côté de la vie quand les victimes quotidiennes des tapages et ravages nocturnes seraient, elles, des auxiliaires de la mort. Plus exactement, de la mort des villes. C’est votre manière de cautionner des choix politiques en contradiction parfaite avec les textes, toujours brandis par les élus locaux mais presque jamais appliqués, ceux qui régissent l’exigence de « tranquillité publique ». 

Voilà plusieurs décennies que les communicants des municipalités imposent aux esprits relâchés la fallacieuse menace d’une mort lente pour les villes où ne pulluleraient pas les établissements de nuit, où le dogme imbécile de « l’attractivité nocturne » ne serait pas érigé en nécessité absolue. Des villes où l’on aurait choisi de différencier le jour de la nuit et où une minorité de fêtards ne pourraient plus, parce que la loi l’interdit et qu’on la ferait respecter, priver une très large majorité d’habitants d’un droit fondamental : celui de dormir la nuit afin d’être en état de travailler ou de ne pas somnoler le jour.

Certes, votre propos semble ne concerner que les seules terrasses de bars ou restaurants qui, en effet s’étalent un peu partout depuis la fin du confinement, mais je ne suis pas certain que vous ayez bien mesuré, avec la rigueur de l’honnête journaliste que probablement vous croyez être, le problème que posent en termes de nuisances sonores ces multiples occupations du domaine public, cette permissivité accrue et les bruyants débordements que cela entraîne, et ce jusqu’à des heures impossibles. 

Venons-en au parallèle que vous faites, Claude Askolovitch, entre la mort d’un homme sur un trottoir du Bois de Boulogne, dans l’indifférence des passants, des joggeurs et de bien d’autres humains. Un jeune homme de vingt ans aura tenté un massage cardiaque, crié à l’aide et seulement obtenu quelques regards embarrassés... La mort, dites-vous, « indiffère » dans le très bourgeois XVIe arrondissement de Paris. Mais dans le XIe, naguère peuplé d’ouvrier et d’employés aux revenus modestes, aujourd’hui majoritairement habité par les classes moyennes intellectuelles, dans ce secteur parisien c’est « la vie qui dérange », selon vous.

Voilà donc qu’une armada de riverains des nombreux bars et établissements de nuit qui grouillent dans ce quartier, comme dans tant d’autres à travers le continent, se déclarent « dérangés par les terrasses qui s’étalent depuis le déconfinement » ! Quel culot ! Ces riverains vont vraiment trop loin dans leur mécontentement puisque, grince notre Askolovitch « ils ont pris un avocat pour les faire reculer !!! (les terrasses, note de l’auteur). Et puis il ajoute, le journaliste, cette ahurissante et coupable précision : « Le XIe arrondissement, c’était, rappelez-vous, l’arrondissement des terrasses attaquées avec le Bataclan. Et ces terrasses où nous étions retournés symbolisaient alors notre volonté de vivre ». 

Je ne sais ce que vous comprenez vous, amis ou ennemis lecteurs, mais pour ma part, j’ai nettement le sentiment que cet Askolovitch-là se soit livré à un assez sinistre rapprochement sémantique. Comparer des centaines de gens paisibles, qui ne réclament que le droit de dormir la nuit, aux effrayants tueurs de l’islam fanatique, voilà qui me paraît quand même très fort de café, nom d’une pipe ! Certes, nous vivons dans un pays réputé libre et on doit pouvoir y « faire la fête » … 

Encore faudrait-il – et là c’est moi qui le rappelle – que ladite « fête » ne nuise pas à tous ceux, beaucoup plus nombreux que les fêtards, qui voudraient continuer d’habiter, donc de vivre, dans leur quartier. Encore faudrait-il aussi qu’il s’agisse bien de fête, c’est-à-dire d’un moment d’exception et pas d’une pratique quotidienne. La fête est l’arrivée du plaisir au terme d’une attente. Par essence, elle ne saurait être permanente. Si c’était le cas, cela relèverait d’un manque, donc d’une addiction. La fête est le moment attendu, celui qui doit rassembler le plus grand nombre autour des valeurs de partage, d’échange, de jubilation collective, sans autre enjeu que celui d’un collectif qui inclut. Un collectif qui ne se résignerait à exclure que lorsque la loi commune se trouverait menacée, voire transgressée, de manière violente. Une vraie fête évite le piège de la mainmise du commerce, qui en récupère à son profit les bénéfices en termes de solidarité et de joie partagée. Une fête qui, par ses débordements, détruit la liberté de ceux qui choisissent de ne pas en être, doit s’interroger sur sa légitimité quand elle ne réunit qu’une petite minorité. 

Je termine en proposant à M. Claude Askolovitch de vérifier par l’immersion volontaire la pertinence de ma plaidoirie en faveur des innombrables victimes du vacarme nocturne quasi-permanent : venez passer quelques semaines dans un meublé touristique d’un des secteurs historiques de la place Gutenberg à Strasbourg, où l’industrie de la nuit a planté toute une ribambelle de bars fermant aux aurores, entraînant le désespoir et la fuite des populations installées depuis des lustres Vous m’en direz peut-être des nouvelles. Sauf si la mauvaise foi dont j’ai quelques raisons de vous croire affligé devait vous conduire à nier ou à sous-estimer certaines évidences…

Daniel EHRET, ancien président du Centre Antibruit d’Alsace, membre de l’association Calme Gutenberg de Strasbourg

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Communiqué de Presse de l'Association Bien Vivre Toulouse Centre

Association Bien Vivre Toulouse Centre
Communiqué de Presse

2 Juin 2020 : la rue des 3 Journées fermée à la circulation pour permettre l’installation d’une terrasse Covid

04 juin 2020 BVTC a été la première association de riverains à encourager ses adhérents à aider nos commerçants de proximité et à relancer l’économie de chaque quartier. De même BVTC a immédiatement été volontaire pour aider les bars et les restaurants fragilisés économiquement. Nous avons relancé la Mairie à plusieurs reprises, y compris par la presse, pour ne pas oublier les habitants et les riverains dans le plan de soutien envisagé.

Certes nous avons souhaité le déconfinement du pays et le retour à une vie sociale normale mais en décidant de mesures adaptées aux circonstances de l’épidémie Covid-19 toujours présente.
Et c’est dans un esprit constructif que BVTC a accepté d’être partie prenante dans le projet d’extensions de terrasses avec la charte de soutien en exigeant les principes sanitaires indispensables à la bonne mise en œuvre.
Or dès la réouverture le 2 Juin des bars et des restaurants toulousains, nous avons constaté dans le centre-ville que de nombreuses recommandations formulées par BVTC n’avaient pas été suivies par les représentants de la Mairie et les commerçants concernés !
En fait nous avons constaté une explosion de terrasses anarchiques sur l’espace public et des commerçants qui ne faisaient pas respecter les règles sanitaires décidées.
De même et bien que participant aux discussions pour chaque extension Covid, nous avons été surpris de découvrir la transformation de la rue des 3 Journées en une gigantesque terrasse.
Les premières soirées ont connu de nombreux débordements nocturnes. De nombreux établissements ne respectent pas les règles en installant de nouvelles terrasses sans autorisation, des bars servent directement dans la rue générant des attroupements massifs, ... pendant que les Services Municipaux restent dans l’incapacité à corriger cette situation anarchique.
A la fermeture des bars, des centaines de personnes ont transformé certaines places en véritables boîtes de nuit, ce qui a nécessité l’intervention de la Police.
En bref la Mairie, certainement motivée par le seul objectif de soutien des commerçants, a été complètement dépassée dans sa gestion de terrasses Covid qu’elle a pourtant autorisées. Les débordements constatés traduisent aussi une impréparation de la gestion de l’espace public et une sous-estimation de l’application des règles sanitaires et de leurs conséquences sur les personnels et clients des établissements, les riverains et les habitants en général.
BVTC avait prévenu que pour éviter une féria non gérée dans la ville de Toulouse, il fallait imposer aux professionnels l’obligation de contrôler strictement leur clientèle et créer des sites alternatifs afin de canaliser l’envie légitime de faire la fête dans des règles sanitaires maitrisées.
Aussi BVTC qui estime ne pas être écoutée dans la concertation ne peut cautionner cette situation critique et se voit contrainte de se retirer momentanément de la charte jusqu’à ce que la Mairie prenne toutes les dispositions pour faire respecter sans délai sa pleine application.
Le Bureau BVTC


Pour rappel, principes préalables à l’installation de terrasses Covid recommandés par BVTC

  • Les mesures exceptionnelles destinées à soutenir les commerces toulousains sont accordées à titre temporaire jusqu’au 30 septembre 2020
  • Les règles de sécurité sanitaire, de distanciations physiques, les protocoles et le guide sanitaire seront strictement respectés en permanence par le gérant, le personnel et les clients
  • La surface de la terrasse Covid ne pourra pas dépasser la surface de la terrasse initiale autorisée
  • Le nombre de clients installés sur le dispositif terrasse initiale + terrasse extension Covid ne sera pas supérieur au nombre de clients installés sur la terrasse initialement autorisée
  • Aucun mobilier mange-debout ne sera installé et aucun client restera debout
  • Les terrasses situées à 1,40m de la façade jusqu’à la bordure du trottoir devront respecter strictement cette bande réservée aux piétons lorsqu'il y a possibilité d’utiliser la chaussée en zone de rencontre et le passage piétons passera à 2m lorsqu’il n’y a pas de possibilité d’utiliser la chaussée
  • Les extensions de terrasses Covid seront signalées au sol par marquage de
    peinture et ne seront pas couvertes de moquette au sol (pb d’hygiène)
  • L’accès aux entrées d’immeubles sera respecté en permanence
  • Il n’y aura pas de musique à l’intérieur et à l’extérieur de l’établissement
  • Le plan de la Mairie autorisant l’extension temporaire de terrasse Covid sera affiché en permanence de façon lisible sur la vitrine de l’établissement

Le communiqué de presse en pdf


Place de la Trinité (2 juin)

Pont Neuf (2 juin)

Place St Pierre (2 juin)

Place Salengro (2 juin)

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Communiqué de l'association Droit au sommeil MONTPELLIER

Cette période de confinement, puis de circulation retrouvée, nous a offert plusieurs constats :

  • les bars qui ferment à 1h voire 2h sont LA source des nuisances sonores innombrables qui pourrissent la vie des habitants de Grand Coeur.
  • le centre ville n'a jamais été aussi propre, sans tags ni pissotières sauvages. Autant de milliers d'euros ainsi économisés par la Ville ....
  • les trottoirs, places, ruelles sont enfin accessibles aux enfants, aux personnes à mobilité réduite, aux nombreux piétons.

Pourtant, les riverains étaient bien présents chez eux. Et ils le resteront probablement durant les congés d'été 2020.

Mesdames et Messieurs les candidats au second tour des Municipales, l'association Droit au sommeil MONTPELLIER vous invite à vous engager à enfin appliquer l'arrêté de 2016 sur la tranquillité publique, et à ne pas laisser régner le business nocturne de l'alcool au détriment de la santé publique. Il est temps que nos élus respectent les habitants de Grand Cœur subissant le défouloir nocturne quotidien des clients non gérés de quelques bars qui investissent l'espace public. L'autorisation de terrasse doit être soumise au respect d'un espace à vivre de qualité pour tous les montpelliérains.

On nous la joue à l'envers depuis des années : ce ne sont pas à plusieurs milliers de riverains de déménager, mais à quelques établissements de nuit qui augmentent délibérément leur chiffre d'affaire au détriment de la loi.

Nous vous appelons à vous engager sur la création de zones de fête nocturne qui ne nuisent pas aux habitants, et qui permettront aux bars de bénéficier de terrasses à la hauteur de leur popularité, mais surtout sur le passage permanent de brigades à pied de la Police Municipale, suffisamment nombreuses, pour apaiser dès 23h et jusqu'à 6h tous les jours, les piétons et consommateurs trop bruyants.

Enfin, la gestion des déchets des commerces devra s'accompagner de mesures contraignantes sur leur tri et leur ramassage, comme pour tous les habitants de la Métropole.

Il est grand temps d'agir !

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Les effets du confinement à la Baie des Citrons

À la Baie des Citrons, en Nouvelle Calédonie, les effets du confinement sont évidents.
Les associations Ensemble pour le Planète et l'Association des Résidents de la Baie Des Citrons mènent de longue date (12 ans déjà !) une lutte ardue pour que les Calédoniens et notamment les riverains de la baie jouissent de la tranquillité publique à laquelle tout un chacun a droit. Elles ont publié un communiqué de presse commun.

Jeudi 17 avril, un représentant de chaque association a parcouru la baie. Leur but ? Objectiver les conséquences du confinement et notamment l’impact de la fermeture des établissements recevant du public (ERP) de la zone. A cette occasion, de nouveaux prélèvements d’eau de mer ont été réalisés.

Le verdict sans appel:

  • L’air est pur, ce qu’il devrait toujours être.
  • Les chants des oiseaux sont enchanteurs, ce qu’ils devraient toujours être.
  • Les nuits sont devenues paisibles, ce qu’elles devraient toujours être.
  • Les eaux de baignade sont d’excellente qualité, ce qu’elles devraient toujours être.

N’est-il pas temps que les « autorités » prennent leurs responsabilités en matière d’assainissement et de bruit ?

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